Les orbes sans fin de la jeunesse
Terminent leurs courses infinies
Sur les barrages des romans fleuves
Où se jette l’éternelle détresse
Les ingénus et savants discours
Musclent l’innocence en torrents de haine
Puis l’eau de vie ravage l’amour
Danse et chute avec sa peine
Alors on cherche le silence
Ou la vigueur paisible d’une fontaine
Et la cachette devient rance
Mais les douleurs s’éteignent
Cribas 24.05.2025
S’éteignent ou s’écrivent ?
S’éteignent à la bougie, en effet.