Aucune liqueur n’a été possible sur ta route des vins, et je l’avais pressenti, nez fin, mais j’ai tout de m’aime humé les effluves autour de toi. Jusque dans le ravin où s’épanouissaient tes vieilles vignes, je me suis accroché à l’espoir d’un vin subtil, secret, qui une fois découvert saliverait ta succulente sur mon palais. Finalement, tous tes chemins mènent à l’arôme de raisin sec, et le marc de ton vieux tonneau a fait ressortir en moi l’amertume d’une vieille barrique, chai.
Cribas 29.07.24