Tu as souvent bousculé mon trottoir Le matin sur la route de nos croisades Pour nous deux il sera toujours trop tard Et j’évite le bleu profond de ton jeune âge Mais lorsque tes yeux, maladroitement Eclairent la … Continuer la lecture
en parcourant la route à vos cotés impossible de ne pas se laisser conduire par l'emballement des images au cœur…
et pourtant les mots coulent encore suintant les images foudroyantes gifles au gisant
tout est là dans le retournement des circonstances à ne rien attendre à tout perdre épanchement d'une énergie artificielle qui…
Seule posture possible, la posture de l'eau toujours jusqu'à se noyer, filament iridescent sous l'insolence du plomb.
Pourquoi ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, si c'est le panier de la victoire, pourquoi ne…